vendredi 23 avril 2010

La Nouvelle Famille

Bébés hors mariage, secondes couples, mères célibataires, parents homosexuels, familles recomposées, fils adoptés… Ce sont les nouveaux modèles de familles qui vivent avec la famille classique. Comme en France, dans les dernières décennies, la famille espagnole a souffert un important changement dans sa structure à cause des changements des rôles, l’accroissement de la liberté, la situation économique… Nous pouvons parler de la situation économique. Maintenant nous sommes dans la terrifiante crise mondiale et maintenant il y a plus de divorces que jamais. On peut trouver quelque relation? Je crois que oui. Quand il n’y a pas assez d’argent pour passer les vacances hors de la maison, quand il n’y a pas assez d’argent pour le dépenser en choses matérielles qui te font la vie un peu plus facile… les nerfs, la tension et les disputes arrivent… tout comme le divorce. Nous pouvons reconnaître cette situation à la croissance des divorces des dernières années. Un autre facteur important c’est la liberté. À mon avis, la liberté c’est une des choses les plus importantes dans cette vie. C’est vrai que nous devons respecter les normes mais je ne parle pas de ce genre de liberté, je parle de la liberté d’expression, de la liberté de pouvoir aimer la personne que tu veux (sans faire attention à la classe social ou au sexe), la liberté de te marier sans obstacles, la liberté à former une famille avec la personne que tu veux, la liberté d’ adopter des enfants de n’importe quelque lieu de la terre et de pouvoir sauver des vies en même temps que de former une nouvelle famille. Les changements des rôles c’est un facteur très important. Ça se produit parce qu’il y a eu un grand équilibre entre la représentation de femme et homme, l’importance de chacun dans la famille et dans la société. Le changement de rôles de genre c'est fréquemment l’origine du conflit entre femmes et hommes, probablement parce que ceux-ci sentent menacée son identité masculine et croient qu’ils perdent leur pouvoir et leurs privilèges. Quelques années avant, c’était la responsabilité de la mère de prendre soin des enfants puisque son travail se limitait à être maîtresse de maison, épouse et mère. De nos jours, ce rôle a changé : la mère travaille aussi hors de la maison.
Alors, si le père travaille et la mère aussi, qui s’occupe des enfants ? Voilà, les grands-parents. Ils adorent être avec leurs petits-enfants parce que c’est ainsi qu’ils ont quelque chose à faire, ils ne se sentent pas seuls, ils peuvent dispenser cette affection sur leurs petits-fils. Tout ça produit moins de sévérité, moins de respect et on peut penser aussi à moins de moralité. Dans mon cas, je peux me considérer fortunée : J’habite chez moi avec mes parents et mon petit frère, alors dans ce sens nous sommes « une famille classique ». Quand j’étais petite, mes parents, comme la plupart des familles devaient travailler pour pouvoir payer la voiture, l’appartement… alors, je passais beaucoup de temps avec mes grands-parents, plus spécialement avec ma grand-mère, et ça, n’a pas été un inconvénient pour mon éducation, je peux dire heureusement que je ne suis pas une fille capricieuse. Alors, à mon avis, le seul problème réside à l’éducation, qui dépend de chaque famille, pas d’un genre de famille en particulier : les parents comme les grands-parents doivent essayer de donner plus d’importance à la générosité, le respect, la capacité de mettre dans le lieu d’autrui, c'est-à-dire l’empathie… Ce sont les trucs !
Lidia Argumosa Villar 2ºBAC