samedi 28 novembre 2009

MAI 68

Les élèves de 3º de ESO ont travaillé sur la révolution du Mai 68. Ils ont choisi un slogan chacun que vous trouverez ici:




Paix et amour !

Lucía Jiménez Sáiz




Faites l'amour,

pas la guerre !

Sergio Mayoral de la Puente






Vive le moment, il n’y a pas de temps !

Enrique Escalada Basterrechea



Soyez réalistes, demandez l'impossible !

Beatriz Sáiz de la Higuera





Sous les pavés, la plage !

Silvia García González





Vive les enragés
qui bâtissent des aventures !

Lucía de Manuel Crespo



Si nous promettons le paradis, nous le rejetons parce que nous allons le perdre !

Miriam Alonso Cisneros



Il est Interdit

d'interdire !

Goretti Martínez Villar


PAULINE “Allô Le Monde”

Il paraît que les nouvelles ne sont pas si bonnes
Que le moral descend
Et que les forces t'abandonnent
J'entends
Tous les gens
Parler de...tes histoires
Que l'avenir qui t'attend
Se joue sur le fil du rasoir

Qu'en est-il de l'amour,
Des larmes et de la peine
De la vie de tous les jours,
Et de la paix sereine

{Refrain:}
Allô le monde
Est-ce que tout va bien?
Allô le monde
Je n'y comprends plus rien
Allô le monde
Prends soin de toi
Allô le monde
Ne te laisse pas aller comme ça
Comme ça

Quel est le nom du mal
Dont tu subis la fièvre
Les étranges idéaux
Les hystéries funèbres
Dis-moi ce que je peux faire
De ma petite place,
Quels sont les actes
Et les mots
Qui peuvent t'aider à faire face
Pousser à la révolte,
Pour faire le premier pas,
Semer pour qu'on récolte,
Et crier mon effroi

{Refrain:}

Allô le monde(x5)

(refrain)
Allô le monde!

Est-ce que tout va bien?
Allô le monde
Allô le monde
Prends soin de toi
Allô le monde

Na na na na na na...le monde
Na na na na na na...le monde
Allô le monde, allô le monde, le monde...

Sommaire de la chanson.
Pauline commence à chanter et elle joue sur un piano vieux. Elle arrive au piano se recompose un peu. Pendant que Pauline chante, le piano se recompose.
La vidéo montre des images de la guerre, la pollution, de la pauvreté. Des gens de différentes cultures arrivent et disent "allô le monde". La chanson termine, le piano est reconstruit et Pauline part.
Qu'est-ce que la chanson signifie?
La chanson demande au Monde sur ses malheurs (la guerre, la faim, la pollution) pour que, comme le piano, nous puissons le recomposer.
Pedro Soares

Il y a un piano cassé, mais au fur et à mesure que la chanteuse chante le piano commence à se réparer. Finalement, le piano est tout nouveau. La chanson au début est pessimiste, mais elle termine positivement.
La chanson parle de l’amour, de la paix sereine, des choses que nous pouvons faire pour sauver le monde.
Nous voyons ça tous le jour dans les journaux.
Javier Irizabal

Je ne comprends pas très bien la chanson, il y a certains mots que je ne comprends pas.
Mais je crois que la chanson parle des choses que nous avons fait mal pour notre monde. Nous détruisons notre monde avec nos caprices, notre contamination et avec tant de technologie. Notre monde ne peut plus résister et à la fin il crèvera. Cette chanson veut que nous raisonons et que nous changeons cela.
Le vidéoclip je crois qu’il veut représenter que nous devons nous unir et lutter contre ce qui se passe, parce que, à la fin du vidéoclip, le piano, qui représente le monde, est recomposé. Si nous nous unissons nous pouvons récupérer notre monde!
Alicia Marcos
Cette chanson est de Pauline. C’est une chanteuse française. Cette chanson parle du monde qui est malade mais on peut le soigner avec beaucoup effort.
La chanteuse, dans cette chanson, a l’air de parler avec le monde. Elle lui pose des questions sur cette affaire,
Dans le vidéoclip, Pauline apparaît jouant un piano gâché mais durant la chanson il va se restaurer. Je crois que le piano représente le monde pour ça au début il est mal et à la fin il est bien.
Pauline montre des scènes de la faim, la guerre, la pauvreté, la contamination et les catastrophes naturelles. Elle montre beaucoup de personnes de toutes les races aussi, parce qu’elle essaie de dire que toutes les personnes sont d’accord.
Personnelment, cette chanson est bien et les mots sont très beaux, mais ce n’est pas mon genre de musique préféré.
Pablo Lozano, 4ºE.S.O.

jeudi 26 novembre 2009

Juvenes Translatores 2009



Le matin du 24 Novembre 2009 il y a eu un concours de traduction à niveau européen qui s'appelle "Juvenes Translatores 2009" dans lequel trois copines de mon groupe de français ont participé. Elles s'appellent María Oruña et Lucía Cayón. Elles ont traduit des textes de l'anglais à l'espagnol (des versions). Elles l'ont fait dans la classe de latin dans le lycée I.E.S. Valle de Piélagos avec les profs Marián Reguera et Marián Daviña. Je crois qu'elles l'ont fait très bien.
Sergio Pérez Diego

samedi 14 novembre 2009

Sortie à Bilbao

11 Novembre, huit heures vingt: les élèves d’économie de second cours de bac du lycée « I.E.S Valle de Piélagos » sommes en train d’attendre le bus qui nous emmènerait à Bilbao. On y est monté quand le bus était complètement libre. Le bus démarre cinq minutes plus tard on fait le premier arrêt au lycée de Castañeda et on continue jusqu’au second arrêt à Cayón.
Le voyage a été un peu long, une heure et demie, mais c’est normal parce qu’on voyageait en bus. Quand on est arrivé à Bilbao, nous sommes rentrés à la Bourse et là on a dû attendre pendant une demi-heure parce que la fille qui devait nous donner la conférence n’était pas prête encore. À midi, on est rentrés à la salle et elle nous a expliqué très bien pendant une heure c’est que la bourse voulait dire en terminologie écononomique. Et avec un grand écran elle nous a montré l’achat et la vente des actions à temps réel et comme ça, on l’a très bien compris. Quand la conférence a fini, notre temps de loisir à commencé. On a profité du temps libre dans le centre ville de Bilbao : quelques-uns sont allés voir le « San Mamés », d'autres, comme nous, sommes allés faire les magasins, et une minorité est allée voir le Guggenheim. On a aussi profité de ce temps pour manger.
À quatre heures moins le quart on a repris le bus pour aller à Ikea. Là, nous nous sommes divisés en deux groupes car on était beaucoup dans la petite salle. Pendant que le premier groupe est entrée dedans, le reste on a visité un petit peu le magasin et quand ils sont sortis c’était à nous.
Une fois qu’on était dedans, deux filles nous ont montré un PowerPoint en expliquant la philosophie du magasin et comment elle est solidaire avec la nature, comment elle aide personnes défavorisées et tout simplement la société en faisant des meubles plus confortables. À la fin de la conférence elles nous ont donné comme cadeau un sac avec des sucreries, un jus de fleur de sureau et le catalogue du magasin.À sept heures et demie on a pris le bus pour rentrer chez nous. Le voyage de retour a été plus court parce l’une devait étudier pour l’examen d’histoire de l’art et l’autre était trop fatiguée et elle avait envie de dormir.

On est arrivés à Renedo à huit heures et quart.
Lidia y Lucía

mercredi 4 novembre 2009

Qu'est-ce que ça?


Description

Du premier coup d’œil nous pouvons voir un bâton de bois horizontal suspendu d'une corde.On peut trouver cette expérience/œuvre d'art dans la partie basse de la rotonde, juste devant le mur d'escalade. On peut dire que cette place c’est la plus accessible pour le mettre, ayant en compte des expériences d’autres ans (par exemple l’arbre de Noël).Dans son extrémité droite il y a trois bouteilles en plastique de cinq litres d’eau chacune suspendues d’une corde assez grosse et dans l’extrémité gauche une bouteille du même matériau d'un litre et demi suspendue aussi d’une autre corde.Pour que les bouteilles soient en équilibre, le point d'appui est plus près de l'extrémité droite (les trois bouteilles grandes).

Lidia Argumosa
La Leçon de Physique
Ce qu'on voit à la photo c'est un levier de première classe, comme celui d'en bas.




Ça veut dire que le point d'appui est situé entre les deux forces.

La loi du levier nous dit que la force qui s’exerce dans une des côtés (appelée puissance) multipliée par la distance au point d’appui doit être égal à la force qui s’exerce sur l’autre côté (appelée résistance).

Mathématiquement on l’exprime comme ça :
P c’est la puissance, dp la distance entre P et le point d’appui ; R la résistance et dr, la distance entre R et le point d’appui.
Par exemple, si on met une masse, x, comme résistance, et autre mass
e, y, comme puissance, et cette dernière masse est vingt fois plus légère et on la met vingt fois plus loin du point d’appui que la masse x, le système sera en équilibre.

Pour finir la leçon de physique, je vous montre l'image de Archimède quand il a dit:

«Donne-moi un point d'appui et je soulèverai le monde»

Ricardo Suárez

Opinion

Selon notre point de vue, la structure dont nous parlons c’est une expérience de physique qui veut nous montrer comment dans une balance il peut y avoir un équilibre entre des corps de différents poids (dans ce cas des bouteilles d’eau) en changeant le point où il s'accroche. Nous croyons que la personne qui l'a réalisé l'a fait pour attirer l'attention des élèves, puisque la figure semble étrangère et irréelle. Il nous semble un forme amusante d'apprendre la physique, puisque en expérimentant on peut comprendre mieux qu'avec des formules.

On peut aussi penser que cela a un caractère artistique, puisque il a quelque chose de différent et attire l'attention. La structure est un peu "pauvre" parce-qu’il fait penser que la personne qui l'a fait n'a pas mis un soin spécial à son élaboration. Alors, il semble qu'il a pris les premiers matériels qu'il a trouvés et les moins chers. La place où on trouve l'expérience est inadéquate, puisque c'est dans un endroit un peu caché qu'on ne voit pas facilement. La personne qui l'a réalisé devrai l'avoir placé au centre de la rotonde pour la voir mieux.
Comme conclusion, nous croyons que c'est un objet intéressant et pratique.

Andrea Gómez, Tamara Villar

Le point de vue artistique


Cette expérience peut signifier beaucoup des choses, ça dépend les différents points de vus des spectateurs, de l’imagination de chacun…Pour les plus objectifs, il s'agit simplement d'une expérience scientifique sans aucune connotation artistique.

D’autre côté, il y a des personnes qui pensent que ça c’est une vrai ouvre d’art, une sculpture abstraite. Il y a beaucoup de personnes qui préfèrent laisser son imagination s’envoler quand ils voient une ouvre, parce que de cette manière chacun peut avoir son propre opinion.On peut parler du minimalisme, c'est-à-dire, avec peu des choses, tu peux raconter beaucoup, attirer l’attention du spectateur, donner de plaisir à la vue.... Ça c’est l’art, le vrai art pour beaucoup des personnes.
Pour quelques cela peut être une balance, qui symbolise une espèce d’utopie : l'équilibre entre la quantité d’eau dans nos pays et le tiers monde (une minorité de pauvres pays et une majorité de pays riches).
Autres peuvent dire que c'est une espèce de balançoire infantile, puisque nous nous trouvons dans un établissement scolaire. Ça peut représenter l’équilibre entre les élèves et les profs, les élèves plus âgés et les plus petits…

Aussi nous pouvons imaginer notre système politique, la démocratie, dans laquelle nous sommes tous en harmonie inégale : les plus riches (les trois bouteilles grandes) aussi bien que les plus pauvres (la bouteille la plus petite) peuvent voter pour atteindre l'équilibre et la stabilité du pays.Alors, il y a plusieurs interprétations, du symbolisme de la balance jusqu'à la possible relation avec la politique.

Lidia Argumosa, Fernando Ezquerra

LE POINT DE VUE ÉCOLOGIQUE

De nos jours, il y a beaucoup d’inégalités sociales dans les différents pays du monde. Pour cette raison, on peut penser que le projet des bouteilles d’eau fait une description-critique de la situation actuelle du monde, c’est-à-dire, des distributions de la richesse (bien qu’on ne soit pas sûres de ce que la personne qui a désigné le projet a pensé quand elle l’a fait). Peut être, le projet n’a pas cette signification par rapport à l’écologie et c’est seulement pour enseigner des lois physiques. Mais, de toute façon, on va raconter ce qu’on croit une des significations du travail.

En premier lieu, la disposition des bouteilles sur l’espace peut nous produire une sensation de deséquilibre social, d’inégalité. Les trois bouteilles qu’il y a d’un côté représentent la richesse les pays développés et la bouteille qui est toute seule de l’autre côté représente des pays du troisième monde. Ça ne veut pas dire qu’il n’y ait pas de personnes pauvres dans les pays développés, mais la plupart de ces personnes appelés « pauvres », seraient appelés riches dans un pays sousdéveloppé, parce que, par exemple, la majorité des personnes pauvres qui habitent aux États-Unis ont une maison propre et une télé en couleur, des luxes pour les habitants, par exemple, d’Haïti.

Un autre point du vue différent, mais dans le même sens, ce serait la disposition de l’eau dans la planète. Tout le monde sait qu’il y a des parties qui ont beaucoup plus d’eau que les autres, où il n’y a rien à boire. Ça est aussi lié à la pauvreté, car les pays riches ont toujours assez d’eau. De nos jours l’eau est en train de diminuer en raison de l’accroissement de la contamination et du gaspillage d’eau. Alors le projet pouvait être une critique à cette diminution de l’eau injustifiée.
En conclusion, ce projet peut signifier beaucoup de choses, mais en ce qui concerne l’écologie, on a distingué deux aspects : les inégalités sociales entre les différents pays par rapport à la mauvaise distribution des richesses et de l’eau.

María Oruña