vendredi 30 avril 2010

Bilbao avec nos correspondants Français

Le 29 avril nous l’avons passé à Bilbao avec les Français. Nous nous sommes ressemblés au lycée à 8.30h du matin et vers les 10.30 nous sommes arrivés au Guggenheim. Nous avons vu les environs du musée, comme le chien Puppi ou l'araignée Maman, jusqu'à midi que nous avions l'entrée au musée.

Nous avons eu une heure et demie pour voir le musée et pour remplir quelques papiers que nous avions avec des questions sur l'exposition. Ce qui m’a plu le plus de l'exposition c'était une oeuvre qui était un canon qu'il lançait quelques cylindres d'encre qui restaient collés dans le mur. À la sortie du musée nous avons mangé dans un parc qui était à côté de lui.

Plus tard nous avons passé deux heures à visiter la vieille ville de Bilbao, à acheter des souvenirs. Une astuce, la professeur des Françaises les a invités à manger une glace et après nous avons pris l'autobus de retour au lycée. Il nous a fait un jour assez bon, sauf à la dernière l'heure qu’il a plu un peu.

Jessica Sañudo


Hier, les élèves de français, nous avons passé la journée à Bilbao avec les correspondants français. À huit heures et demie nous étions dans le lycée à l’attente du bus, à dix heures et demi nous sommes arrivés là. Nous sommes descendus dans la porte du Guggenheim. D'abord nous avons été dans la rue, nous avons regardé Puppy, le chien géant de fleurs qui est à l'entrée du musée et nous avons parlé de cette histoire. Après nous avons regardé une autre grosse araignée qui s´appelle Maman. Après ça nous sommes allés à l’intérieur du musée et on nous a donné des fiches pour remplir avec les diverses oeuvres qui sont exposées. Quand nous avons quitté le musée à deux heures nous avons mangé dans un parc qui était en face du musée et la rivière. Comme il faisait très chaud, nous avons pris un peu de soleil et nous nous sommes mouillés dans une fontaine. À trois heures nous sommes allés voir la vieille ville. Quand nous avons fini nous avons pris le bus à nouveau et à sept heures et demie nous sommes arrivés à Renedo. Après nous sommes allés à La Mina parce que c´était le dernier jour de nos correspondants français.

Laura Sierra

vendredi 23 avril 2010

Une seule pensée, Paul Eluard

Sur mes cahiers d'écolier

Sur mon pupitre et les arbres
Sur le sable sur la neige
J'écris ton nom

Sur toutes les pages lues
Sur toutes les pages blanches
Pierre sang papier ou cendre
J'écris ton nom

Sur les images dorées
Sur les armes des guerriers
Sur la couronne des rois
J'écris ton nom

Sur la jungle et le désert
Sur les nids sur les genêts
Sur l'écho de mon enfance
J'écris ton nom

Sur les merveilles des nuits
Sur le pain blanc des journées
Sur les saisons fiancées
J'écris ton nom

Sur tous mes chiffons d'azur
Sur l'étang soleil moisi
Sur le lac lune vivante
J'écris ton nom

Sur les champs sur l'horizon
Sur les ailes des oiseaux
Et sur le moulin des ombres
J'écris ton nom

Sur chaque bouffée d'aurore
Sur la mer sur les bateaux
Sur la montagne démente
J'écris ton nom

Sur la mousse des nuages
Sur les sueurs de l'orage
Sur la pluie épaisse et fade
J'écris ton nom

Sur les formes scintillantes
Sur les cloches des couleurs
Sur la vérité physique
J'écris ton nom

Sur les sentiers éveillés
Sur les routes déployées
Sur les places qui débordent
J'écris ton nom

Sur la lampe qui s'allume
Sur la lampe qui s'éteint
Sur mes maisons réunis
J'écris ton nom

Sur le fruit coupé en deux
Dur miroir et de ma chambre
Sur mon lit coquille vide
J'écris ton nom

Sur mon chien gourmand et tendre
Sur ses oreilles dressées
Sur sa patte maladroite
J'écris ton nom

Sur le tremplin de ma porte
Sur les objets familiers
Sur le flot du feu béni
J'écris ton nom

Sur toute chair accordée
Sur le front de mes amis
Sur chaque main qui se tend
J'écris ton nom

Sur la vitre des surprises
Sur les lèvres attentives
Bien au-dessus du silence
J'écris ton nom

Sur mes refuges détruits
Sur mes phares écroulés
Sur les murs de mon ennui
J'écris ton nom

Sur l'absence sans désir
Sur la solitude nue
Sur les marches de la mort
J'écris ton nom

Sur la santé revenue
Sur le risque disparu
Sur l'espoir sans souvenir
J'écris ton nom

Et par le pouvoir d'un mot
Je recommence ma vie
Je suis né pour te connaître
Pour te nommer

Liberté



Il s’agit d’un poème de Paul Éluard appelé « Une seule pensée », écrit pendant la Seconde Guerre Mondiale.

Le sujet que l’auteur nous présent dans son poème est simplement la liberté et pour l’expliquer il raconte comment sa vie change depuis son enfance jusqu’aux marches de la mort. Il parle sur la lutte de la France occupée et divisée pendant la seconde guerre mondiale. Ainsi, Paul Éluard veut émotionner au lecteur avec une attitude expressive, qu’on peut observer dans l’utilisation de la première personne verbal (j’écris) et de pronoms possessifs (mon pupitre) et subjective, qu’on peut distinguer avec l’usage des figures de rhétorique, comme la métaphore (les marches de la mort), qui veut dire que la mort s’approche; la métonymie, qui parle d’une partie du corps, mais il fait référence au corps entier (lèvres attentives); la synesthésie, qui sont les sensations mélangées de plusieurs sens à la fois (chiffons d’azur-mélange de toucher et de couleur); et, surtout, l’anaphore, qui consiste à la répétition d’un mot ou groupe au début de phrase pour attirer l’attention du lecteur (en ce cas l’anaphore est de la préposition « sur » et du vers « j’écris ton nom »).

On peut diviser le poème chronologiquement, parce que le texte constitue une réflexion sur la vie de l’auteur: d’abord il parle de l’enfance avec les cahiers d’écolier, puis l’enfance n’est qu’un souvenir (un écho) et il arrive l’adolescence, le temps de l’amour (saisons fiancées), mais pas heureux complètement (il parle de la solitude) et en fin, c’est la vieillesse où il s’approche à la mort (les marches de la mort) et il se sent beaucoup plus seul. Je pense que cette structure est la chose la plus attirante du poème, en plus de l’apparition du mot liberté seulement à la fin du poème qui a l’objectif de maintenir l’attention du récepteur jusqu’à la fin du poème.

Les trois premiers vers de chaque strophe sont des heptasyllabes et ils sont suivis d’un tétrasyllabe, alors ils sont courts. On peut identifier ce texte à la simplicité, parce qu’il faut peu de mots pour exprimer l’essentiel (il utilise surtout des mots concrètes « cahiers, pupitre, arbres, pages, etc. », pas abstraites) et à la banalité du vocabulaire, qui a des mots avec des connotations affectives sur l’enfance, l’amour, la liberté, etc.

En général, le poème a l’air optimiste et une tonalité d’espoir, car il y a peu de mots avec la connotation de tristesse. On peut voir cet optimisme surtout à la dernière strophe, parce que là le poète semble confient à l’avenir, car il croit qu’il est né pour connaître la liberté et alors, on peut déduire qu’il sait qu’il va la connaître un jour.

Une autre interprétation du poème serait une métaphore sur l’amour, c’est-à-dire, une seule pensée qui serait la femme aimée. En ce cas, pendant les années d’occupation, l’amour de cette poème serait peut être remplacé par la liberté. La poésie, selon l’interprétation amoureuse, nous raconte une vie avec les conséquences de l’amour: la tendresse, mais aussi les préoccupations, la solitude et la mort. En jouant sur l’ambiguïté amour-liberté, Paul évite la critique d’apparaître comme un poète politique, pendant les années d’occupation de la France, où tu ne pouvais pas exprimer tout ce que tu voulais.

On peut conclure l’analyse du poème en disant que le talent de Éluard est immense, parce qu’il encourage aux hommes opprimés à défendre sa liberté d’une belle manière, avec un poème.

Le mot liberté fait référence à la faculté humaine qui te permet de faire ce que tu veux.

La vie est une recherche de la liberté, mais c’est très difficile à l’obtenir, parce qu’on est toujours influencés par la société et alors, on ne sait jamais si on fait les choses parce qu’on veut réellement ou bien parce qu’on est influencés. Par exemple, si je n’étais pas influencée, je pourrais venir en classe en pyjama, car chez moi je préfère être comme ça, parce qu’évidement c’est plus commode. Je viens en classe avec des vêtements appropriés aux modèles de la société. Cependant, on est influencés aussi dans autres aspects de nos vies, comme par exemple notre façon d’agir: en Espagne, il y a encore une attitude dogmatique qui vient de Platón à travers de Santo Tomás qui rejette tout ce qui concerne les sens, en donnant priorité à tout ce qui est rationnel. Ainsi, on peut déduire que le « refus » que la société fait aux travaux artistiques tient sa source à Platón. Je ne veux pas dire qu’il y ait un refus complet à ce genre de travaux, mais c’est vrai que, par exemple, les mathématiques sont mieux considérées que le dessin artistique, même tu « es » plus intelligent si tu es bon dans les matières de sciences et si tu fais travailler la partie rationnelle du cerveau.

D’autre part, de nous jours, on croit qu’on a le droit naturel d’avoir la liberté, mais ce n’est pas vrai, on l’a inventée pour pouvoir être heureux, car sinon seulement quelques personnes pourraient agir librement, comme, par exemple, dans le Moyen Âge.

Une autre chose très commune est le donner une couleur à la liberté, comme par exemple le bleu, car il représente le ciel et la mer. Je pense qu’on ne doit lui donner aucune couleur, parce que tu la limites et alors le concept de liberté n’existe plus. Pour cette raison, j’utiliserai la couleur noire, car en réalité ce n’est pas une couleur, sinon l’absence d’eux.

Pour conclure, je veux dire qu’en réalité il n’existe que le concept de liberté, parce que c’est très difficile d’être complètement libre.

María Oruña Vía

1500 personnes d'Andalucía ont quitté leurs maisons par l'inondation

Les pluies torrentielles ont obligé à 1500 personnes en Andalucía à laisser leurs maisons à cause de l’augmentation du débit du fleuve Guadalquivir. En plus, il y a 20 routes barrées selon la “Junta de Andalucía”, qui a demandé du calme aux habitants, bien que la situation soit d’urgence.

Seulement le 10% des personnes affectées ont été relogées, parce que le reste sont allées chez des parents ou bien ils sont revenus chez-eux quand le niveau d’eau est descendu.

Le directeur technique de la Confédération Hydrographique du Guadalquivir, Juan Saura, a dit que Andujar est le village le plus endommagé avec un débit de 2.000 mètres cubes par seconde. Les voisins ont couvert les portes, mais l’eau continue à entrer dans les établissements publics, parce qu’il y a presque 50 cm d’eau dans la rue.

Les Services techniques de Séville ont déclaré que les pertes en agriculture surpassent les 1.200 millions d’euros à cause du mauvais temps. Toutes les récoltes d’hiver se sont abîmées: les céréales, les fraises, les agrumes, etc.

Par rapport à l’élevage, on doit remarquer de nombreux animaux morts à cause des débordements. En plus, la pluie a débordé des bateaux avec de purins, qui sont contaminants.

María Oruña Vía

Marais de Santoña


Excursion aux marais de Santoña

Premièrement, nous sommes allés dans un centre où l'on nous a raconté l'histoire des marais. Nous avons parlé de la pollution et comment la résoudre.

Après nous sommes allés dans les marais et nous nous sommes promenés. Nous avons vu des oiseaux avec des jumelles et les guides nous ont montré tous les types d'oiseaux, ce qu'ils mangent, quand ils migrent…Nous avons pris des photos de la pollution, les oiseaux, la mer… Après nous sommes allés au mont Anno, et nous nous sommes promenés par un chemin pendant 30 min.

Quand nous avons fini le chemin, nous avons mangé à côté de la plage et nous avons pris des photos et nous avons pris le soleil.

Eva Saráchaga Novo, 4ºA

LES MARAIS

Le mercredi, quatorze d'avril, mon cours de biologie est allé faire un voyage dans les marais de Santoña. Ce jour-là a été très ensoleillé et il a fait très chaud et il était parfait pour la visite.

Nous sommes montés dans le bus et il est arrivé à dix heures du matin à Santoña. Nous y avons vu le musée des marais avec certains moniteurs, après nous sommes allés voir les oiseaux dans la nature. Nous avons vu des Cormorans, des Canards, des Hérons, etc. Et beaucoup de plantes différentes. Plus tard nous sommes allés à la montagne pour voir les plantes et les animaux là-bas mais nous ne pouvions pas voir un animal parce que nous faisons beaucoup de bruit et c'était très difficile. A midi, nous sommes allés à la plage et profiter de la vue pendant que nous mangions le sandwich.

A trois heures de l'après-midi nous sommes rentrés dans le bus pour revenir au lycée. Ça a été un très beau voyage.

Noive Esquivias

SANTOÑA

Le mercredi 14 avril, le jour de mon anniversaire, nous sommes allés aux marais de Santoña, au bord de la mer avec la classe de biologie. Là d'abord on nous a mis une vidéo, puis nous avons vu le musée où ils nous en ont expliqué l’histoire. Après avec des jumelles nous avons vu les oiseaux et quelques plantes et après nous avons marché par la montagne Buciero. Finalement, quand nous avonsfini de marcher, nous sommes allés manger sur un pré. Plus tard nous sommes revenus à Renedo dans le bus où, dans un parc, les amis nous ont donné, à Jaime, à Mikel et à moi, un gâteau et nous avons soufflé les bougies

Laura sierra

Notre excursion

Le 14 avril les élèves de 4ème qui étudient biologie, nous sommes allés à Santoña, pour voir les marais.

Nous sommes arrivés au Lycée à huit heures vingt-cinq, comme tous les jours. Nous avons fait la première heure de cours, parce que notre visite commençait plustard. L’heure d’anglais est passée très rapidement et à neuf heures vingt nous sommes partis à Santoña. Le voyage a été long mais il est passé assez vite, parce que nous étions très fatigués, et la plupart du groupe a dormi un peu.

Quand nous sommes arrivés enfin aux marais, nous sommes allés à un centre d’information. Là, les guides nous ont expliqué ce qui était un marais et son importance. Ils nous ont montré un peu son contenu et nous avons pu faire des questions. Après une heure et demie à peu près, nous nous sommes dirigés enfin dans le marais. Là nous avons vu avec des jumelles quelques oiseaux, mais surtout nous avons pu voir les oiseaux avec les télescopes des guides.

Quand nous avons fini dans les marais, nous sommes allés à la « Montagne Buciero », la plupart des élèves, nous ne voulions pas y aller, parce que nous devions monter beaucoup de pentes et c’était très fatiguant. Mais nos professeurs de biologie nous ont obligé à monter. À la fin ça valait le coup parce que la vue là-haut de la montagne était magnifique.

À deux heures nous sommes arrivés à la promenade maritime de Santoña. Là nous avons eu une heure pour manger. Il y a eu des vues géniales de toute la mer et nous avons fait quelques photos.

À trois heures nous sommes allés au bus et nous sommes partis pour Renedo. Dans le voyage de retour j’ai fait avec Carmen quelques photos idiotes. À quatreheures nous sommes arrivés au Lycée et c'était la fin de l'excursion.

Alicia Marcos


LES MARAIS DE SANTOÑA

Le mercredi 14 Avril nous sommes allés aux Marais de Santoña avec les profs de Biologie.
Nous sommes allés au lycée comme tous les jours et nous avons fait la première heure de cours. À 9:30 heure nous sommes sortis du lycée et nous sommes arrivés vers 10 heures.
Quand nous sommes arrivés, on nous a distribué en deux groupes, on nous a donné une explication sur les marais à l'intérieur d'un bâtiment et après on nous a emmenés les voir.
Ils nous ont permis de voir quelques espèces d’oiseaux comme le cormoran ou les échasses. Ce jour nous n'avons pas vu beaucoup d’oiseaux puisque l'époque d'émigration a été en février.
Plus tard nous sommes montés à la montagne Buciero et après nous sommes descendus. On nous a laissé une heure à Santoña où nous avons mangé et sommes restés un peu là-bas.

À 3 heures nous sommes montés de nouveau dans le bus et nous sommes rentrés au lycée.

Natalia Zamanillo

Les marais au bord de la mer

Nous sommes allés en excursion aux marais de Santoña, au bord de la mer. La première chose que nous avons vu c’était une vidéo d'environ 10 minutes de tout ce que nous allions voir et des plages de Santoña et des alentours. Après nous sommes allés voir les marais au bord de la mer, nous n'avons pas vu beauc

oup d'oiseaux. On nous a parlé de toute la contamination qui existait dans les marais au bord de la mer. Pour finir la sortie nous avons fait l'une petite marche dans une montagne où on nous a parlé de différentes classes d’arbres q

ui existaient. Vers deux heures de l'après-midi nous nous avons commencé à manger dans un grand pré et à trois heures nous sommes rentrés au lycée.

Jessica Sañudo

EXCURSION

Le mercredi 14 d’avril les étudiants de biologie, nous sommes allés aux marais de Santoña. Nous sommes partis à 9.30 et nous sommes arrivés à 10.30. Quand nous sommes arrivés, nous avons regardé une vidéo sur les marais, les animaux et les plantes qui y vivent. Puis les guides nous ont expliqué l’histoire et les différents marais qui forment les marais de Santoña : Victoria et Joyel.

Plus tard nous sommes allés regarder les oiseaux migrateurs mais nous avons regardé très peu d’oiseaux parque c’était tard, parce que les oiseaux ont émigré en février. Mais nous avons pu voir des cygnes, les hérons et les canards.

Puis nous avons fait l’ascension au Buciero et ils nous ont expliqué les différents arbres, les feuilles. Quand nous sommes arrivés au sommet, nous avons regardé les vues de la mer, les marais et Santoña. C’était très jolis!

Plus tard nous sommes allés manger à Santoña, sur le bord de la mer, c’était très joli! Après le repas nous avons fait des photos à la plage jusqu’à trois heures parce que nous avons pris le bus.

Nous sommes arrivés à Renedo à quatre heures. C’était très bien!

Javier Irizabal

La Nouvelle Famille

Bébés hors mariage, secondes couples, mères célibataires, parents homosexuels, familles recomposées, fils adoptés… Ce sont les nouveaux modèles de familles qui vivent avec la famille classique. Comme en France, dans les dernières décennies, la famille espagnole a souffert un important changement dans sa structure à cause des changements des rôles, l’accroissement de la liberté, la situation économique… Nous pouvons parler de la situation économique. Maintenant nous sommes dans la terrifiante crise mondiale et maintenant il y a plus de divorces que jamais. On peut trouver quelque relation? Je crois que oui. Quand il n’y a pas assez d’argent pour passer les vacances hors de la maison, quand il n’y a pas assez d’argent pour le dépenser en choses matérielles qui te font la vie un peu plus facile… les nerfs, la tension et les disputes arrivent… tout comme le divorce. Nous pouvons reconnaître cette situation à la croissance des divorces des dernières années. Un autre facteur important c’est la liberté. À mon avis, la liberté c’est une des choses les plus importantes dans cette vie. C’est vrai que nous devons respecter les normes mais je ne parle pas de ce genre de liberté, je parle de la liberté d’expression, de la liberté de pouvoir aimer la personne que tu veux (sans faire attention à la classe social ou au sexe), la liberté de te marier sans obstacles, la liberté à former une famille avec la personne que tu veux, la liberté d’ adopter des enfants de n’importe quelque lieu de la terre et de pouvoir sauver des vies en même temps que de former une nouvelle famille. Les changements des rôles c’est un facteur très important. Ça se produit parce qu’il y a eu un grand équilibre entre la représentation de femme et homme, l’importance de chacun dans la famille et dans la société. Le changement de rôles de genre c'est fréquemment l’origine du conflit entre femmes et hommes, probablement parce que ceux-ci sentent menacée son identité masculine et croient qu’ils perdent leur pouvoir et leurs privilèges. Quelques années avant, c’était la responsabilité de la mère de prendre soin des enfants puisque son travail se limitait à être maîtresse de maison, épouse et mère. De nos jours, ce rôle a changé : la mère travaille aussi hors de la maison.
Alors, si le père travaille et la mère aussi, qui s’occupe des enfants ? Voilà, les grands-parents. Ils adorent être avec leurs petits-enfants parce que c’est ainsi qu’ils ont quelque chose à faire, ils ne se sentent pas seuls, ils peuvent dispenser cette affection sur leurs petits-fils. Tout ça produit moins de sévérité, moins de respect et on peut penser aussi à moins de moralité. Dans mon cas, je peux me considérer fortunée : J’habite chez moi avec mes parents et mon petit frère, alors dans ce sens nous sommes « une famille classique ». Quand j’étais petite, mes parents, comme la plupart des familles devaient travailler pour pouvoir payer la voiture, l’appartement… alors, je passais beaucoup de temps avec mes grands-parents, plus spécialement avec ma grand-mère, et ça, n’a pas été un inconvénient pour mon éducation, je peux dire heureusement que je ne suis pas une fille capricieuse. Alors, à mon avis, le seul problème réside à l’éducation, qui dépend de chaque famille, pas d’un genre de famille en particulier : les parents comme les grands-parents doivent essayer de donner plus d’importance à la générosité, le respect, la capacité de mettre dans le lieu d’autrui, c'est-à-dire l’empathie… Ce sont les trucs !
Lidia Argumosa Villar 2ºBAC

La Famille

La famille c’est important pour tous, n’importe de quel endroit du monde viennes-tu. C’est difficile à faire une bonne définition de “famille” mais en général on pourrait dire que c’est le groupe de personnes avec lesquelles on habite ou tout simplement les personnes qu’on aime les plus, le sang ne dit rien. C’est peut-être pour ça que c’est difficile comparer les familles d’Espagne avec les familles de la France en plus ce sont des pays très proches et les familles changent en même temps que notre mentalité. Autrefois quand la femme n’avait aucun rôle, sauf celui de garder la maison et les enfants, les familles étaient plus nombreuses, parce que les femmes pouvaient garder les anciens chez elles car elles ne travaillaient pas. Par contre actuellement la mère et le père travaillent habituellement, alors beaucoup de fois les grands-parents doivent aller à une résidence. Avant il n’y avait presque aucun divorce mais c’est sûr que la mentalité était complètement liée. Actuellement on a une mentalité plus ouverte et libérale et les familles sont de plus en plus séparées. On pense moins à ce que le monde va penser... et à mon avis c’est mieux, (bien qu’il y en ait toujours des familles qui sont ensemble pour ne pas attirer l’attention) En ce qui concerne l’éducation des enfants, elle empire de plus en plus : quand le père et la mère ne son pas ensemble ils donnent plus aux enfants pour améliorer sa relation avec eux. Alors les enfants sont plus gâtés. C’est un problème évident qui s’accentue avec l’actuation des grands-parents. Heureusement il reste encore de familles ensemble ! Que le numéro de familles divorcées soit plus grand ne veut pas dire que l’amour n’existe pas, mais que l’amour dans beaucoup de cas ne reste pas pour toujours le même !

Lucía Cayón

mardi 20 avril 2010

L'argent de poche


Autrefois, au temps de mes grands-parents ou même mes parents l’argent avait une autre valeur, seulement les familles les plus riches donnaient de l’argent de poche aux enfants mais évidemment cette situation a changée d’une façon radicale.
De nos jours l’argent de poche c’est une espèce de “prix” qui est donné par nos parents ou tuteurs à la fin de la semaine ou chaque mois (ça dépend du cas) mais à différence de ce temps là, aujourd’hui presque tous les enfants l’ont. Leurs parents ont la possibilité de le leur retirer.
Avec cet argent qu’ils ont reçu ils font un peu du tout (ça change avec leur goûts) mais en général ils l’utilisent pour sortir avec des amis, aller au cinéma et toutes ces choses qui sont liées aux divertissements. Mais pas tous les jeunes ne font une bonne utilisation de lui, car ils le dépensent pour fumer et boire des boissons alcooliques (par exemple)

Je crois que ça c’est comme ça parce qu’ils l’ont depuis qu’ils sont très petits, bien qu’ils soient immatures ils le reçoivent, donc ils grandissent sans apprécier la valeur de l’argent, alors peut-être ça devient une mauvaise éducation. C’est pour ça qu’à mes yeux si l’on veut être de bons parents il faut faire attention à ce qu’on donne comme “argent de poche” aux enfants, je veux dire, regarder son degré de responsabilité avant de considérer la quantité.

Mon cas c’est différent au reste, je pense, parce que mes parents ne me le donnent pas sinon qu’ils le mettent dans la carte de crédit, après tout ils sont assez modernes parce que ce n’est pas la chose la plus courante bien que je pense que ce sera le moyen le plus utilisé (au moins je l’espère).

Pour finir, il ne faut pas oublier que l’argent ce n’est pas le but de nos vies, ou au moins il ne doit pas l’être.
Lucía Cayón

Présentations des élèves de 2º






Devinettes

DEVINETTES

  • C'est un sport où tu utilises seulement une raquette...Une piste, il n'est pas ce que vous pensez...
  • C'est un animal qui habite à la maison qui est un bon ami, qui a des taches noires, marron...et qui est trés sympa.
  • C'est un objet qu’on utilise pour écrire ou dessiner, qui est grand et qui peut être dur ou léger.
  • C’est un objet qui s'ouvre et qui se ferme, qui se trouve à l'intérieur d'une maison, et que tu ouvres pour entrer dans une chambre.
  • C’est quelque chose qui commence la nuit, et qui finit le matin, et qu’on trouve deux fois dans l'année. Qu’est-ce que c’est ?
  • C'est un objet qui a différentes utilisations dans chaque lieu où tu vas l’utiliser : à la maison, à la plage, à l'école, à la neige... C'est un objet qui sert à repasser, à nager, à écrire...
  • C'est un lieu où tu vas quand il fait bon.
  • C’est une chose qui te permet d’écrire dans les examens
  • C’est un animal qui est le roi de la mer.
  • C’est un grand objet qui a quatre pattes, qui est marron et noir, où tu t’assieds quand il fait chaud.
  • C’est une chose qui te permet observer le monde, que tu peux ouvrir et qui est transparent.
  • C'est la chose la plus rapide du monde, que tu ne peux pas voir si elle est très grande et que tu peux voir si elle est plus petite.
  • Je suis un animal petit qui adore chanter et qui aime manger des carottes...Est-ce que tu sais qui suis je?
  • On me retire une lettre, je ne change pas.On me retire deux lettres, je ne change pas.On me retire trois lettres, je ne change pas. On me retire toutes mes lettres, je ne change pas, qui suis-je ?
  • C'est la plus rapide du monde.Si elle est très grande tu ne peux pas voir,si elle est plus petite tu peux voir.
  • Je suis debout, il est couché. Je suis couché, il est debout. Qui suis-je ?
Élèves de troisième A et B


Solutions en pagaille:

Banc / Cahier / Chien / Lettre N / Lumière / Lunettes / Pied / Plage / Porte / Requin / Stylo / Tennis

dimanche 18 avril 2010

mardi 13 avril 2010

English Week

English Week

Santa Susanna, Mars 2010

Nous sommes allés à Santa Susanna.

L’arrivée:

Le Samedi 14 Mars nous sommes arrivées á Santa Susanna, à Barcelone. Nous sommes allés à un camp d’anglais pendant une semaine.

Nous sommes arrivés à huit heures de l’après-midi au camping ‘Bon Repòs’.

Nous avons choisi notre bungalow. Les bungalows sont très bien, avec une salle de bains, une chambre, une petite cuisine

Des bungalows!

Après Christopher a parlé des règles et nous avons pris le dîner dans notre bungalow.

Nous nous sommes couchés assez tôt parce que nous avons été très fatigués.

Lundi, le 15 Mars

Nous nous sommes levés à huit heures.

Nous avons pris le petit déjeuner dans une salle à manger où nous avons regardé la mer.

Puis nous avons connu nos moniteurs (ils sont de l'Irlande).

Après nous avons parlé de notre pays, de nos choses préférées. Et lui aussi.

Pendant l’après-midi nous avons appris la théorie de l’équitation et de l’orientation.

Puis nous avons joué et nous avons appris cette chanson:

I saw a bumblebee Today

He said groupes, groupes, welcome you

Groupes, groupes, welcome you

1, 2, 3


La nuit nous sommes allées à la disco. Là nous avons dansé et nous nous sommes amusés!

Mardi, le 16 mars

Le matin, un groupe a fait de l’équitation. Les chevaux ont été très beaux et on s’est bien amusés!

L’autre groupe a fait des jeux de logique, des jeux d’obstacles,…

Après nous avons mangé et puis nous sommes allés à la piscine. L’eau a été très froide mais il a fait chaud.

L’après-midi nous avons fait un travail de la ville de nos rêves. Dix choses que nous voulons là et dix choses que nous ne voulons pas là.

La nuit nous sommes allés à la disco!

Ce jour est le jour de Saint Patrick. Tous les moniteurs ont un trèfle ou le drapeau d‘Irlande et ils ont une T-shirt vert.

Mercredi, le 17 Mars

Le matin nous avons fait des sketches!

L’après-midi nous avons joué à la plage.

Après nous avons appris à danser trois chansons: YMCA, Apache et une autre chanson de Cha Cha dance.

La nuit nous avons dansé les chansons que nous avons apprises et d’autres, comme Saturday Night et La Macarena.

Jeudi, le 18 Mars

Le matin, nous avons appris la théorie de l’aventure et l’après-midi nous sommes allés à un parc d’aventures très amusant et beau. Là nous avons fait de l’escalade, la grimpe d’arbres, le tir à l'arc, etc.

La nuit, nous sommes allés à la disco. Ça a été la dernière fois, alors nous avons dansé beaucoup.

Le retour à Santander

Le matin nous avons fait les valises et un groupe est allé faire de l’équitation et l’autre groupe a fait des jeux d’obstacles.

Après nous avons fait une photo avec notre moniteur, et il nous a donné l’attestation de stage.

Puis nous sommes allés à l’autobus et nous sommes arrivés à Renedo à minuit.


Santa Susanna a été une expérience INOUBLIABLE!


Réalisé par: Sara Noriega, Claudia Requejo, Casilda Pérez del Molino, Elisa Mata